Comme on peut le voir sur la photo, les marquages de nationalité ainsi
que son identification avaient été effacés par les militaires. A l’époque,
quand un avion de l’armée était vendu, il fallait que, lors de son départ
dans le civil, toutes les marques d’identification soient effacées.
L'avion tel qu'il était exposé dans les années 90
Exposé depuis les années 90 au musée d’avions de Montélimar, le Broussard n° 124 avait servi de magasin de pièces détachées pour un autre Broussard. Extérieurement, il n’était plus complet (il lui manquait l’aileron droit et le saumon de voilure droite). Au niveau du moteur, le radiateur d’huile est la pièce la plus importante qui manquait.
Une restauration pas comme les autres !
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