* Propriété de l’appareil exposé : Armée de l'Air Française
1 700 km/h (Mach 1,62)
535 km
15 7002 kg
8,692 m
16,832 m
24,182 m2
Interne2 canons DEFA de 30 mm (150 obus chacun)
Externe (4 500 kg de charges sur 5 pylônes d'emport externes : bombes, roquettes, missiles, réservoirs externes, ECM,  pods de désignation laser, etc.
Vitesse >
Rayon d’action > 
Masse total > 
Envergure >
Longueur >
Surface alaire >
Armement
SEPECAT
France / Royaume-Uni
Jaguar A
Avion d’Entraînement
1973 ?
Rolls-Royce Turboméca AdourMk.102Turboréacteurs à double flux et postcombustion
Constructeur >
Pays >
Type >
Fonction >
Année >
Moteur >
En rôle secondaire, il peut également effectuer des missions de reconnaissance et de chasse à moyenne/basse altitude.
Les premiers Jaguar A sont livrés avec des réacteurs Adour 101 d'une puissance maximale de 24,7 kN, rapidement remplacé par l'Adour 102 plus puissant et doté d'une postcombustion "modulée" qui peut s'enclencher progressivement dès 80 % de la poussée maximale à sec. Ce système avait initialement été développé pour le Jaguar M. Les autres versions reçoivent directement l'Adour 102.
Le 27 juin 1967, à la demande du gouvernement français, la Société des Avions Marcel Dassault rachète Breguet Aviation et doit prendre en charge le programme Jaguar3. Deux prototypes de chaque version sont construits, dans l'ordre :
-biplace d'entraînement pour la France (Jaguar E, premier vol le 8 septembre 1968); monoplace d'attaque pour la France (Jaguar A, 23 mars 1969)
-monoplace d'attaque pour le Royaume-Uni (Jaguar S, 12 octobre 1969)
-biplace d'entraînement pour le Royaume-Uni (Jaguar B, 30 août 1971)
Dans l'Armée de l'Air, le Jaguar se voit confier les missions suivantes: attaque au sol classique, attaque de précision avec des armes guidées laser, frappe nucléaire tactique, attaque anti-radar.
Au début des années 1960, la France et le Royaume-Uni sont tous les deux à la recherche d'un avion d'entraînement avec des capacités d'attaque au sol.
Bien que les cahiers des charges respectifs soient différents, les besoins sont cependant rapprochés et un 1er protocole d'accord entre les 2 pays est signé en mars 1964.
Le projet 121A proposé par Bréguet est retenu en 1965 et, l'année d'après, Bréguet fonde avec British Aircraft Corporation (BAC) la coentreprise SEPECAT chargée de concevoir puis de fabriquer en série le futur avion.
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